On sait la passion de Nicolas Hulot pour l'Arctique, passion initiée par Paul-Émile Victor, disparu il y a dix ans, auquel cette émission est dédiée. En partance donc pour ce monde blanc, bien au-delà du cercle polaire, à la recherche de la licorne de mer, appelée aussi le narval. Dès le printemps, au Nunavut, territoire inuit indépendant, la nuit fait relâche et le soleil brille sans arrêt. En cette saison, la banquise se fracture de toutes parts. Les socles de glace se disloquent, partent à la dérive pour se fondre en un océan liquide. Le terrain de chasse des hommes et des animaux polaires s'amenuise. Observateur inlassable du Grand Nord, le photographe Rémy Marion slalome avec son guide inuit sur les chenaux veinés de la banquise, au plus près des morses. Le biologiste marin, Laurent Ballesta se dirige aux confins des eaux libres où les Inuits viennent de hisser sur la berge de glace un requin. Le scientifique en profite pour réaliser quelques prélèvements, avant sa remise à l'eau. Puis, il plonge à son tour sous la banquise pour une exploration d'une biodiversité des fonds marins stupéfiante. Beaucoup plus loin, vers l'Est, à Tromso, en Norvège, une autre équipe suit le travail d'un expert en aurores boréales, ces phénomènes célestes lumineux et sonores. Au Nunavut, Nicolas Hulot, en ballon saute-nuages, flirte avec les falaises du goulet de l'Amirauté, véritable livre ouvert sur l'action dynamique de la glaces sur les rochers. Puis, il rejoint le campement et la tente laboratoire où Laurent Ballesta explique le cycle de la banquise et les grands courants océaniques. Ensemble, ils rappellent aussi que, malmenée par le réchauffement de la planète, la banquise a perdu 40 % de son épaisseur et 6 % de sa surface en cinquante ans. Tout près du camp, Rémy Marion a repéré un ours polaire. Son guide inuit, l'équipe et lui vont vivre un incroyable face-à-face avec le jeune plantigrade. Enfin, direction le Floe Edge, cette ligne de rupture entre l'océan gelé et l'océan liquide. Là, les licornes de mer si difficiles à surprendre offriront, avec les bélougas, un somptueux ballet.

Mêlant animations et observations sur le terrain, cette série en quatre volets entend montrer que la mauvaise réputation de certaines espèces animales est injustifiée. A la veille de l'automne, dans la forêt, le cerf couronné de bois a toujours suscité l'admiration en même temps que la crainte, comme en témoigne la légende du cerf ailé Furfur. Les cris étranges du solitaire pic noir ont souvent été associés à la sorcellerie. Quant au blaireau, inlassable bâtisseur d'un labyrinthe souterrain, il a été soupçonné, au Moyen Age, de complicité avec le Malin pour ses activités nocturnes.

Mêlant animations et observations sur le terrain, cette série en quatre volets entend montrer que la mauvaise réputation de certaines espèces animales est injustifiée. Dans la prairie, la renarde élève ses petits, la chenille du sphinx à tête de mort se métamorphose en un papillon impressionnant et le lièvre se lance dans une course folle lors du bouquinage de printemps. Victimes de superstitions, ces espèces entretiennent des liens difficiles avec l'homme : les dents des moissonneuses-batteuses emportent les nichées, les herbicides menacent les couvées et le chasseur poursuit le renard jusque dans son terrier.

Cette série en quatre volets entend montrer que la mauvaise réputation de certaines espèces animales est injustifiée. Dans la prairie, la renarde élève ses petits, la chenille du sphinx à tête de mort se métamorphose en un papillon impressionnant et le lièvre se lance dans une course folle lors du bouquinage de printemps. Victimes de superstitions, ces espèces entretiennent des liens difficiles avec l'homme.

Ancienne république soviétique, l'Ouzbékistan cache au coeur de ses étendues désertiques des villes à l'histoire millénaire, de véritables joyaux. Philippe Gougler démarre son voyage dans la magnifique cité de Samarcande. Autrefois carrefour important de la route de la Soie, entre Chine et Méditerranée, la ville abrite de nombreux monuments historiques. Arrivé à Tachkent, la capitale du pays, Philippe découvre, au détour d'un marché, de curieux berceaux pour bébés. Après avoir emprunté le métro et ses stations impressionnantes datant de la période soviétique, il goûte le Kala Potcha, un ragoût de tête et de pieds de mouton, préparés par une mère et sa fille.

Philippe Gougler part à la découverte de la Lituanie, de ses traditions et de ses paysages surprenants. Le pays est traversé par des lignes ferroviaires qui trouvent leurs origines dans l'ancienne Union soviétique. Le premier arrêt du globe-trotter a lieu en gare de Šiauliai afin d'aller à la découverte d'un lieu de pèlerinage, la colline des Croix. Après cette halte, direction la mer Baltique. Philippe y découvre des paysages dignes des tropiques avec de longues plages de sable blanc et la lagune de l'isthme de Courlande. Direction ensuite le nord-est de la Lituanie, où l'on trouve une petite pépite pour les amoureux de trains : une ancienne ligne de fret devenue un trésor du patrimoine culturel lituanien. Philippe découvre ensuite la capitale de la Lituanie, Vilnius, une ville au charme fou.

On pense connaître le Maroc, pays proche par son histoire et sa proximité géographique. Pourtant, à travers ce périple ferroviaire, Philippe Gougler découvre un pays surprenant, aux richesses infinies. Un voyage regorgeant de contrastes et de diversité, où l'on bascule sans cesse d'un monde à l'autre, où la tradition côtoie la modernité. Dès son arrivée à Rabat, la capitale politique du Maroc, l'aventurier est saisi par une ville où la vie semble paisible et douce. Après Fès, l'incontournable, direction le sud pour rejoindre Marrakech. Puis Philippe s'approche du mythique Sahara, là où la route s'achève.

Grâce à un programme de réintroduction inédit et ambitieux, le plus grand aigle d'Europe revient peupler les cieux de France et de Suisse.

En France, comme dans d'autres pays, les cocheurs, une poignée de passionnés se dispute le titre de celui qui verra le plus d'espèces différentes d'oiseaux.

Chaque année, une colonie de pélicans vient nicher sur une île minuscule de Russie. Un rituel de plus en plus menacé par les activités humaines.

Chaque année, après 6 mois passés au large, le macareux moine fait son retour sur les îles Vestmann, au large des côtes islandaises. Emblème national et attraction touristique, son sort inquiète pourtant les habitants de l'île, alors que depuis maintenant une décennie, les couples ont cessé de se reproduire sur les falaises. Face à ce constat, une poignée de passionnés se mobilise pour le sauver, car derrière l'histoire du macareux, c'est toute l'identité d'une île qui pourrait disparaître.

Aux confins de l’Indonésie et des Philippines, l’inventaire biologique vient à peine de commencer. Cette véritable réserve naturelle se prête à l’observation avec le biologiste marin Laurent Ballesta, la zoologue Lynn Clayton et l’entomologiste Jean Haxaire. Départ dans les Raja Ampat. Pour séduire et se reproduire, effrayer et se défendre, le vivant utilise des codes visuels, sonores ou chimiques. Ainsi, les oiseaux de paradis communiquent par la couleur et le mouvement. Au fond de la mer, le requin tapis barbu réussit un camouflage qui le protège des prédateurs. Plus loin, aux Célèbes, plongée nocturne dans le détroit de Lembeh où les créatures sous-marines rivalisent d’originalité et d’ingéniosité. La réserve de Nantou abrite les derniers babiroussas ou cochons-cerfs (photo), un animal de légende visible uniquement là. Après un détour en forêt pour comprendre les codes chimiques de communication des fourmis, Nicolas s’envole en quête du plus gros des poissons : le requin baleine.

Le prestigieux cirque Wonderland a donné tigres ont été donnés à l'organisation de défense des droits des animaux Animal Advocacy and Protection.

François Puech est un vrai Monsieur Bambou. Depuis plus de 20 ans, il lutte pour valoriser cette herbacée et lui donner ses lettres de noblesse. De l'architecture à l'aéronautique, embarquez avec ce personnage attachant, savant et truculent pour un voyage dans le monde méconnu du bambou. Face au conservatisme de nos pays occidentaux, cette plante aux qualités écologiques extraordinaires saura-t-elle s'imposer comme une solution aux enjeux climatiques ?

Cette série en quatre volets entend montrer que la mauvaise réputation de certaines espèces animales est injustifiée. Dans la prairie, la renarde élève ses petits, la chenille du sphinx à tête de mort se métamorphose en un papillon impressionnant et le lièvre se lance dans une course folle lors du bouquinage de printemps. Victimes de superstitions, ces espèces entretiennent des liens difficiles avec l'homme.

Antoine Auriol, le champion du monde de kite surf, participe à un tour du monde en voilier. Pour sa première escale, il s'arrête à Cape Town, en Afrique du sud.

Dans L'autre voyage, Christine Oberdorff propose de découvrir comment ces régions, ces pays ou ces îles traditionnellement vus comme des paradis ou, au contraire, des destinations à éviter, ont une autre facette à offrir, au-delà des clichés et des préjugés. Chacune de ces destinations est confrontée à un défi géopolitique et environnemental majeur qui redessine de manière radicale les liens entre l'homme et la nature. Pour ce premier numéro, direction le Liban, ce pays à la peau en lambeau mais dont le cœur bat encore. Guerres, chaos et corruption sont tant de clichés que ce pays peut évoquer. Et les derniers évènements les étayent : des manifestations, une crise économique et la récente explosion du port de Beyrouth illustrent parfaitement l'incurie du pouvoir en place. Pourtant, le Liban conserve une force de séduction inouïe.

Expos, cinés, musées : les bons plans pour bouger de manière écolo. Au programme également, visites de régions et découvertes de lieux étonnants et de personnes passionnées.

Sur la côte Ouest de l'île de Madagascar vit l'un des derniers peuples de nomades de la mer, les Vezos, qui accompagnent la migration des poissons.

La côte d'Opale s'étire sur plus de 100 km et offre des paysages aux mille contrastes. Une fois l'hiver venu, ces petites communes font face à la mer et ses déferlantes de plus en plus violentes. Les digues souffrent jusqu'à rompre comme à Wimereux ou Ambleteuse après le passage de plusieurs tempêtes. Face à ces coups de boutoir, le trait de côte recule. A l'intérieur des terres, l'eau provoque aussi de nombreux dégâts. Les agriculteurs se retrouvent, de plus en plus, avec des champs inondés durant plusieurs mois l'hiver. En été, les canicules puis les pluies anormales de septembre ont des conséquences sur des milliers de maisons qui se fissurent.

Les îles du Ponant défient les éléments déchaînés de l'océan Atlantique. Au large de la Bretagne, les îles de Sein et d'Ouessant ont su préserver leur beauté. Mais, en hiver, la nature est hostile. Durant l'hiver 2013-2014, plus d'une trentaine de tempêtes n'ont laissé aucun répit à ces îles. Postes avancés de la nature qui se déchaîne, les îles du Ponant veulent aussi montrer l'exemple en mettant à profit cet environnement.

Depuis 1982, le département des Alpes-Maritimes est celui qui collectionne le plus de décrets de catastrophes naturelles en France métropolitaine. Derrière l'image de carte postale, l'homme a construit à un rythme effréné, souvent au dépend de sa sécurité. En 2015, des inondations ont ravagé le département provoquant la mort de vingt-et-une personnes. Les dégâts considérables sont estimés à plus de 650 millions d'euros. Plus de trois ans après cette catastrophe, les sinistrés perdent patience face à la lenteur des travaux de protection et sont tentés de vendre leurs maisons pour une bouchée de pain. A l'ouest, plus de 80 000 personnes vivent sur des zones à risques. Le problème de la relocalisation est l'un des plus grands défis à venir pour les pouvoirs publics.

Les Bahamas d'îles en îles Pays de l'accueil Atlantis : dans les coulisses d'un complexe unique au monde La conche, symbole des Bahamas Into the Blue Faster : la fabrique de sprint des Bahamas /

Le défi andin La fibre d'or des Incas Patates ! De l'art dans les quartiers Les chercheurs d'or Le peuple des roseaux

Avec le concours du plongeur et biologiste Laurent Ballesta, une expédition scientifique explore trois sites volcaniques italiens engloutis en Méditerranée.

Cinquième île du monde par sa superficie (587 040 km2) après l'Australie, le Groenland, la Nouvelle-Guinée et Bornéo, Madagascar, appelée aussi « l'Ile rouge » ou la « Grande île », est une véritable terre promise pour les naturalistes. Détachée du continent africain il y a environ 160 millions d'années, peuplée au cours du premier millénaire, la Grande île a favorisé le développement d'une faune et d'une flore endémiques. Malheureusement, un écobuage intensif dépouille chaque année la forêt de 300 00 ha, privant ainsi l'île de ses plus grandes richesses naturelles. Pénétrant des lieux rarement visités, explorant des reliefs jamais atteints, Nicolas Hulot et son équipe nous entraînent à la découverte d'un monde hors du temps, à la survie précaire. Au nord, dans le massif de L'Ankarana, après avoir parcouru une rivière souterraine, Nicolas Hulot et Lucille Allorges, botaniste, débouchent dans une vaste grotte, véritable cathédrale à ciel ouvert. Là, à l'aide d'un système ascensionnel des plus sophistiqués, ils se font hisser sur les Tsingy, sorte de forêt de coraux acérés, véritables lames de rasoir sorties du fond de l'océan après une violente poussée volcanique. Lucille Allorges, qui étudie plus particulièrement les plantes médicinales (Madagascar en compte 900 variétés - la France 300), espère y trouver de nouvelles essences aux vertus curatives. 500 kilomètres plus bas, dans le massif du Makay, véritable labyrinthe géologique de canyons et biotope privilégié, se sont développées les espèces les plus étranges. Les chauve-souris géantes, les lémuriens farouches, les caméléons versatiles et le redoutable fossa, surnommé le tigre de Madagascar, en sont les rois. Enfin, cap sur Europa, une petite île du canal du Mozambique, préservée des hommes. C'est le royaume des tortues vertes qui chaque année viennent y pondre leurs oeufs. Pour le plus grand bonheur des redoutables frégates au bec crochu qui y trouvent là un mets de choix... Et au grand désespoir de Nicolas Hulot, sauveteur dépité et témoin impuissant du massacre, qui conclut laconiquement : « C'est la nature ! » Voir en replay

Les forêts de Patagonie abritent des créatures miraculeuses, introuvables ailleurs. Des scientifiques et les populations autochtones tentent de les protéger.

La survie dans le sud de la Patagonie, la région la plus proche de l'Antarctique sur Terre, est une lutte quotidienne pour ses habitants. Les animaux et les humains qui y vivent sont résistants et astucieux.

Les coulisses du tournage, durant une année, dans certains des endroits les plus sauvages de la planète, de la lutte contre des conditions météorologiques extrêmes au suivi des défenseurs de l'environnement dans leurs missions de protection de la Patagonie.

Le prestigieux cirque Wonderland a donné tigres ont été donnés à l'organisation de défense des droits des animaux Animal Advocacy and Protection.

Philippe Gougler nous embarque à la rencontre des Vietnamiens, de leur sourire et de leur regard sur le monde. Après un premier bain de foule dans la frénétique Ho-Chi-Minh-Ville, Philippe grimpe dans un train à destination de Danang. C'est l'occasion de goûter au plaisir du voyage à la mode vietnamienne. Il se rend dans un temple perdu dans la jungle et apprend les rudiments de la pêche sur une drôle d'embarcation. Dans le convoi qui le mène à Hué, Philippe rencontre des vendeuses à la sauvette qui n'ont peur de rien et de jeunes femmes bouddhistes dont la sérénité n'a d'égale que la sagesse...

Philippe Gougler parcourt l'Italie en commençant par Rome. Longtemps le centre du monde, la ville reste très riche de par son histoire, son architecture mais aussi ses habitants. Il y rencontre un candidat à la mairie pour le moins original car habillé en Néron. Rapidement, Philippe pourra profiter des sièges baquets d'une Ferrari : il ne s'agit pas là d'une voiture mais bel et bien d'un train, très rapide évidemment. A Sansepolcro, il assiste à une tradition d'affrontement de quartiers au travers de joutes verbales et autres concours d'arbalètes. En Toscane, à Brisighella, il se rend chez la reine des pâtes fraîches. Puis, il monte à bord du train de Dante, très chic, tout de bois décoré.

Les vastes étendues de Tanzanie, au Sud-Est de l'Afrique, sont peuplées par l'une des plus importantes concentrations d'animaux sauvages au monde. Philippe commence son aventure en prenant la mythique ligne de train «Central Railway», qui traverse les steppes tanzaniennes de l'océan Indien vers les rives du lac Tanganiyka. L'aventurier traverse le Parc national de Gombe Stream, mondialement connu pour sa population de chimpanzés. De retour à Dar Es Salaam, la capitale du pays, il embarque à bord du train «Tazara» qui emmène Philippe au coeur du Selous, une des plus belles réserves d'animaux au monde.

Les parcs nationaux, symbole de l'Ouest sauvage L'art du camping : sac à dos contre camping-car Sensations fortes dans les Rocheuses Le territoire des dinosaures Denver, un cow-boy dans la ville La ruée vers l'or

La péninsule de Dampier, région du nord-ouest de l'Australie, est le territoire des Bardi Jawi, un peuple aborigène qui compte une centaine de personnes.

Au Vanuatu, les Nivan vivent en équilibre avec les ressources locales, océan et terres fertiles. Mais surtout, il ont su préserver leur isolement et leurs valeurs.